Depuis plusieurs années, j’encourage les femmes à dire leur âge,  à se montrer sans maquillage et à discuter de ménopause ouvertement.  Aujourd’hui, je vous parle d’un sujet encore tabou:  l’incontinence.  

C’est avec fierté que j’encourage les femmes à assumer pleinement qui elles sont en donnant l’exemple:   j’ai osé dire mon âge après 50 ans, même si ce n’était pas bien vu dans mon milieu de travail.  Je me suis montrée à la télévision sans maquillage et  je le fais régulièrement sur mes réseaux sociaux.   Je parle ouvertement des changements qu’apporte la ménopause.  Je suis heureuse de voir de plus en plus de femmes suivre mon exemple et assumer qui elles sont sans honte.  

En partenariat avec TENA, je suis en mission pour combattre la stigmatisation autour des changements de nos corps.  Aujourd’hui, j’ouvre une autre discussion avec vous, un sujet dont on a honte de parler, l’incontinence.  Quand on entend le mot «incontinence», on pense surtout aux aînés et aux femmes ménopausées.  Mais saviez-vous que 1/3 des femmes âgées de 35 ans et plus disent avoir déjà eu des fuites urinaires? 

Mon histoire d’incontinence

J’ai vécu une première période d’incontinence  à l’effort  à 42 ans, après ma deuxième grossesse.  Dès que je riais trop ou que j’éternuais, je devais me précipiter à la toilette.  Vraiment gênant.  Chez les femmes, la grossesse est l’une des principales causes de perte de force dans les muscles du plancher pelvien. 

Puis à 48 ans, j’ai subi une hystérectomie à cause d’un gros fibrome qui a nécessité une longue hospitalisation durant laquelle ma vessie a arrêté de fonctionner.  La réhabilitation a demandé de longs mois durant lesquels j’ai eu une perte de sensation qui causait des envies soudaines d’uriner.  Ce qui n’est pas toujours possible immédiatement, qu’on soit en voiture ou en train de faire une activité.  

Comment traiter l’incontinence?

Heureusement, il y a des solutions.  Voici ce qui a fonctionné pour moi, mais je vous invite à consulter votre professionnel de la santé qui saura vous conseiller.  J’ai réglé mon incontinence à l’effort en consultant une physiothérapeute spécialisée en rééducation périnéale qui m’a appris à faire les exercices de Kegel.  Je devais faire 30 contractions par jour…j’en ai fait 100! 

Suite à mon hystérectomie, j’ai recommencé à pratiquer les exercices pour le plancher pelvien.  Et j’ai pris l’habitude de moins boire avant un long voyage en voiture et à vider ma vessie aux 2 heures, même quand je n’en ressens pas le besoin.

Et heureusement,  TENA est là pour nous soutenir durant nos épisodes d’incontinence avec une panoplie de produits conçus pour se sentir en confiance à tout moment de la journée.  

Voilà mon histoire partagée avec vous sans honte,  quelle est la vôtre?  

Ouvrons la conversation avec nos mères, nos filles, nos amies, sans honte, pour lever le poids et la stigmatisation pour la prochaine génération de femmes.  Brisons les barrières pour la soutenir!

Maintenant, j’aimerais connaître votre histoire.  N’hésitez pas à commenter ici et sous ma vidéo, parlez-en avec votre médecin et je vous invite à visiter le site de TENA pour en savoir plus. 

Contenu développé en partenariat avec TENA.